“À la vue de la surface à notre disposition, du grand plateau sportif et du bâtiment scolaire dans lequel nous pratiquons parfois, il est évident que nous pouvons être davantage qu’une activité confidentielle.”
Aujourd’hui, les séances du lundi soir affichent un beau taux de remplissage, voire complet, mais, comme le souligne Étienne, les temps de pratique libre sont encore en capacité d’accueillir des badistes de tous les horizons.
“On pourrait également imaginer l’ouverture de nouveaux créneaux ! Ce n’est ni l’espace ni la volonté qui manque. Mais, encore une fois, ce souhait de développement ne se fera pas à marche forcée.”
Et c’est sur ces mots que se clôt cette discussion : le Compas relâche Étienne, qui s’en va profiter de sa pause méridionale sportive.